Ski alpin – Coupe du monde
Ski alpin – Coupe du monde
Killington, 26 novembre 2016 (Sportcom) – Une marée de spectateurs attendait les skieuses à l’arrivée du slalom géant de Killington, au Vermont, samedi. C’est qu’il s’agissait de la première épreuve féminine de la Coupe du monde de ski alpin présentée dans l’Est de l’Amérique du Nord en 25 ans.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.
Killington, 26 novembre 2016 (Sportcom) – Une marée de spectateurs attendait les skieuses à l’arrivée du slalom géant de Killington, au Vermont, samedi. C’est qu’il s’agissait de la première épreuve féminine de la Coupe du monde de ski alpin présentée dans l’Est de l’Amérique du Nord en 25 ans.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.
Killington, 26 novembre 2016 (Sportcom) – Une marée de spectateurs attendait les skieuses à l’arrivée du slalom géant de Killington, au Vermont, samedi. C’est qu’il s’agissait de la première épreuve féminine de la Coupe du monde de ski alpin présentée dans l’Est de l’Amérique du Nord en 25 ans.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.Killington, 26 novembre 2016 (Sportcom) – Une marée de spectateurs attendait les skieuses à l’arrivée du slalom géant de Killington, au Vermont, samedi. C’est qu’il s’agissait de la première épreuve féminine de la Coupe du monde de ski alpin présentée dans l’Est de l’Amérique du Nord en 25 ans.
La jeune Valérie Grenier a profité de cet événement disputé près de la maison pour décrocher ses premiers points de Coupe du monde dans une épreuve technique. Championne du monde junior en descente et vice-championne du monde junior en super-G, l’athlète de 20 ans s’est qualifiée pour la deuxième manche de la journée, une première pour elle en coupe du monde.
Et elle l’a fait dans des conditions loin d’être idéales. En raison de la température incertaine et du manque de neige, des trous se sont formés dans certains virages du parcours.
« Je suis vraiment contente honnêtement. C’est sûr que j’ai fait quelques erreurs, mais ce n’était vraiment pas facile aujourd’hui. La neige n’était pas très belle et ce n’était pas les conditions idéales. J’étais contente d’avoir un top-30 à la première descente et je voulais bien faire à la deuxième. Je trouve que j’ai bien skié », a commenté celle qui s’est taillé une place au 24e échelon grâce à un temps total de 2 min 03,42 s.
Elle a réussi à descendre sous la minute lors de sa deuxième descente, malgré une petite frousse. Vers le milieu de la course, elle a été débalancée et s’est retrouvée en déséquilibre sur son ski extérieur. « J’ai eu peur. Je ne voulais vraiment pas sortir du parcours, alors ça m’a stressée un peu. Je voulais vraiment mon top-30 et si je n’avais pas terminé la course, je n’aurais pas eu mes points », a expliqué la fierté du Mont-Tremblant.
Une place parmi les 30 meilleures lors d’une épreuve technique était l’objectif de sa saison. Maintenant qu’elle l’a accompli si tôt, elle peut se fixer de nouveaux défis.
Elle pourra tenter de répéter l’expérience dès dimanche, car elle participera également au slalom de Killington.
La Française Tessa Worley a triomphé avec un chrono de 1 min 59,26 s. Sa dernière victoire en coupe du monde remontait à 2013. Elle a partagé le podium avec la Norvégienne Nina Loeseth (2:00,06) et l’Italienne Sofia Goggia (2:00,06).
La fraction de seconde qui change tout
La journée de Marie-Michèle Gagnon ne s’est pas terminée comme elle l’aurait espéré. La skieuse de 27 ans n’a pas atteint l’arrivée de sa deuxième descente. Vingtième à s’élancer, elle est sortie du parcours à la cinquième porte.
« C’est arrivé vraiment trop vite. En fait, au début je me demandais ce qui était arrivé. Finalement, il y avait des trous. J’ai lâché la pression sur le ski extérieur pendant une seconde et ç’a été dans le trou. À ce moment-là c’était fini », a raconté Gagnon.
L’athlète confirme que malgré la présence de sa famille et ses proches, elle ne ressentait pas de pression supplémentaire. Elle était prête mentalement à affronter la piste de Killington.
« C’est une toute petite erreur. Une petite chose qui fait que tout d’un coup tu es sortie », indique-t-elle.
Ses entraîneurs étaient tout de même satisfaits de ce qu’ils ont vu en début de piste. « Mes entraîneurs étaient contents de l’attaque que j’ai montrée dans mes cinq premières gates, même si ce n’est pas beaucoup. J’avais un bon plan d’attaque et j’aurais aimé pouvoir le tester plus longtemps. »
Malgré les conditions difficiles de la matinée, la fierté de Lac-Etchemin s’était glissée au 11e rang du classement de la première descente avec un chrono de 1 min 01,30 s. Elle aurait tout de même espéré mieux.
Elle tentera de se reprendre dimanche à l’épreuve de slalom. « En ce moment, je suis fâchée, et d’habitude, ça amène de la bonne énergie dans la deuxième journée de slalom. On va voir comment ça se passe », a affirmé Marie-Michèle Gagnon.
Aussi en action samedi, Mikaela Tommy a été éliminée après le premier tour. L’athlète de Wakefield s’attendait à des conditions de neige difficiles, mais pas autant que ce qu’elle a découvert en s’élançant du départ.
« C’était vraiment une erreur mentale. J’étais prête pour aujourd’hui, mais je n’étais pas prête pour des conditions si difficiles. À l’inspection, ce n’était pas pareil. C’est toujours différent après 30 coureuses. Je savais que les conditions étaient difficiles, mais je ne savais pas à quel point. Ce n’est pas le meilleur sentiment au monde, mais maintenant je sais comment adapter mes tactiques », a expliqué la skieuse de 21 ans.
Tommy ne sera pas sur la ligne de départ du slalom de dimanche. La Québécoise Laurence St-Germain s’ajoute cependant à la liste des représentantes de l’unifolié dans le portillon de départ.