 et le Belge Greg Van Avermaet (CCC) ont respectivement terminé deuxième et troisième, alors que le Français Julien Alaphilippe s’est vu octroyer le titre de meilleur grimpeur. </span></p>
<p>
<strong><span>Piccoli et Zukowsky un peu à court</span></strong></p>
<p>
<span>Pour leur part, les membres de l’équipe nationale canadienne <strong>James Piccoli </strong>et <strong>Nicolas Zukowsky </strong>ont respectivement pris les 22<sup>e</sup> et 68<sup>e</sup> échelons. Même s’il a conclu dans le peloton de tête avec le même chrono que le vainqueur, Piccoli affichait une allure de déception après l’épreuve.</span></p>
<p>
<span>« C’était assez chaotique dans les derniers instants de la course! Nous avons essayé, mais nous n’avons pas été en mesure de bien nous positionner. Je me sentais bien aujourd’hui (vendredi) et j’aurais aimé avoir un peu plus de chance, mais je vais essayer de bien rebondir dimanche », a indiqué l’athlète de Mont-Royal.</span></p>
<p>
<span>De son côté, Zukowsky, qui a terminé l’épreuve à 1 minute 47 secondes des meneurs, était fier du travail accompli lors de cette course. « Notre équipe souhaitait changer le rythme et nous avons bien fait. J’ai essayé d’aider James du mieux que je pouvais dans le dernier tour, mais nous nous sommes fait mettre les bâtons dans les roues. Il termine quand même dans le premier peloton, alors c’est bien pour nous. »</span></p>
<p>
<span>Le cycliste de Sainte-Lucie-des-Laurentides a d’ailleurs été l’un des premiers à lancer une attaque, avec un peu plus de 60 kilomètres à faire. C’est à ce moment qu’il a dû se frotter au champion du Tour de France 2014, l’Italien Vincenzo Nibali (Bahrain Merida).</span></p>
<p>
<span>« C’était <em>l’fun</em>! J’ai réussi à le faire sortir avec cinq tours à faire et c’était assez <em>cool</em>. Je l’ai suivi un peu et nous avons roulé sur Champlain, mais nous nous sommes rapidement rassis. C’était une belle expérience. »</span></p>
<table align=)
, de Lorraine, <strong>Antoine Duchesne </strong>(Groupama-FDJ, +1 minute 54 secondes), de Blainville, et <strong>Charles-Étienne Chrétien </strong>(Équipe nationale canadienne, +5 minutes 21 secondes), d’Amos, sont les autres Québécois à avoir complété l’épreuve. Ils ont respectivement terminé 74<sup>e</sup>, 81<sup>e</sup> et 116<sup>e</sup>.</span></p>
<p>
<strong><span>Roberge et Boivin contraints à l’abandon </span></strong></p>
<p>
<span>Après s’être échappé dans les premiers instants de la course en compagnie de cinq autres cyclistes, <strong>Adam Roberge</strong> a été forcé à l’abandon lors du sixième tour. L’athlète de Prévost a été victime d’une chute en roulant sur un nid de poule et s’est blessé à une épaule. Il a ensuite été transporté en ambulance vers l’hôpital par mesure de prévention.</span></p>
<p>
<span>Finalement, le Montréalais <strong>Guillaume Boivin </strong>a roulé sur un bidon laissé au sol dans la zone de ravitaillement peu après la mi-course et a vu son parcours prendre fin en raison d’une chute. Celui qui avait été le meilleur Canadien avec des 21<sup>e</sup> et 19<sup>e </sup>places à Québec et Montréal en 2018 a ensuite quitté la course de ses propres moyens.</span></p>
<p>
<span>Les deux Québécois ne savent toujours pas pourront disputer le Grand Prix de Montréal qui aura lieu ce dimanche.</span></p>
</div>
<div id=)
Bienvenue dans les grandes ligues !
Montréal, 23 octobre 2024 (Sportcom) – Le Canada est une des forces internationales en patinage de vitesse courte piste depuis près de…
Cyclisme sur route – Grand Prix cycliste de Québec
Cyclisme sur route – Grand Prix cycliste de Québec
Montréal, 13 septembre 2019 – Tout comme en 2018, la course s’est réellement animée avec cinq tours à faire lors de la 10e édition du Grand Prix cycliste de Québec présentée vendredi, dans la Capitale-Nationale. L’issue s’est jouée au sprint, où l’Australien Michael Matthews (Sunweb) a tout donné pour récolter une troisième victoire de suite en sol québécois, lui qui avait remporté les Grands Prix de Québec et Montréal l’année dernière. Pour sa part, Hugo Houle (Astana) a pris le 15e rang, ce qui lui a valu le titre de meilleur cycliste canadien du jour, et ce, en dépit d’une condition physique « plus difficile qu’à l’habitude. »
